Au Cervantes, 80 minutes de pur bonheur
Ce fut un de ces moments où l’on sait qu’il ne peut rien arriver à la musique qui ne soit de pure magie. Les accords de guitarre de Sylvain Luc en écho au suave et sensuel accordéon de Richard Galliano résonnent encore à mes oreilles. Quelques titres majeurs de la mythique Piaf ont réchauffé une salle qui n'avait pas fait le plein pour applaudir 2 artistes au sommet de leur art... mais assez peu médiatisés. Le Jazz à Màlaga devrait se faire dans la rue à la terrasse des cafés qui, eux, ne désemplissent pas.
A peine sorti du concert, j'ai repris mon vélo direction le café-resto Beatas face à l'Alliance française pour retrouver la bande devant une caña et tout à fait par hasard nos deux musiciens qui s'attablaient mais hélas sans leurs instruments. Dommage, c'eût été fort beau dans ce décor ( pas banal à pleurer !!!!! contrairement à la chanson d'Edith)
Il ne manque que l'accordéon !!! mais j'ai l'autographe